Gouvernance ouverte et pouvoir partagés
Associations, salariés, bénévoles : mieux travailler, mieux décider
Nous pouvons accompagner votre association sur la définition d’une gouvernance ouverte. Nous pensons qu’il existe DES chemins possibles : il n’y a pas de modèle unique pour construire une gouvernance partagée. Chaque collectif est par essence unique et singulier.Pour autant, une gouvernance partagée ne signifie pas que tout le monde décide de tout, car cela bloquerait définitivement l’organisation…
Autrement dit, si on veut que cette gouvernance soit efficace, elle doit
- permettre les initiatives individuelles,
- et rendre possible les décisions collectives.
C’est toute la complexité, mais aussi la richesse du monde associatif. Entre les bénévoles et les salarié·e·s, ce sont des forces de travail qui apportent leur contribution à des rythmes différents, avec des motivations différentes, et -parfois- pour des objectifs différents.
Entre formation et accompagnement au long cours, nous vous proposons de remettre de la vision partagée, du sens commun et enfin des outils-méthodes de travail collaboratif.
Les 2 contenus paragraphes (à déplier) ci-dessous sont extrait de la formation Animacoop, que nous co-animons sur Gap.
Gouvernance partagée, mais de quoi parle-t-on ?
La gouvernance renvoie étymologiquement à l'idée de gouvernail, donc de cap, la direction à donner. Lorsqu'on parle de gouvernance partagée dans une organisation, on considère donc que les directions données peuvent être le fait d'un groupe, d'un collectif, voire de l'ensemble des membres.
Pour autant, une gouvernance partagée ne signifie pas que tout le monde décide de tout, car cela bloquerait définitivement l'organisation...
Autrement dit, si on veut que cette gouvernance soit efficace, elle doit :
Pour fonctionner correctement, une gouvernance collective doit être construite par ses membres afin de disposer de règles adaptées à leur contexte d'action. On parle souvent de gouvernance partagée en opposition à la gouvernance pyramidale, ou descendante : une personne, une cheffe, un N+1 décide pour la ou les personnes qui seraient situées "en dessous" dans la chaîne de décision.
Pour autant, une gouvernance partagée ne signifie pas que tout le monde décide de tout, car cela bloquerait définitivement l'organisation...
Autrement dit, si on veut que cette gouvernance soit efficace, elle doit :
- permettre les initiatives individuelles,
- et rendre possible les décisions collectives.
Pour fonctionner correctement, une gouvernance collective doit être construite par ses membres afin de disposer de règles adaptées à leur contexte d'action. On parle souvent de gouvernance partagée en opposition à la gouvernance pyramidale, ou descendante : une personne, une cheffe, un N+1 décide pour la ou les personnes qui seraient situées "en dessous" dans la chaîne de décision.
Vous pouvez voir d'autres contenus de formation sur la plateforme source d'Animacoop : https://source.animacoop.net/?ModulE9